question intéressante,
la mort prématuré de Freddie, entretien le culte de la rock star,
sexe drogue rock n 'roll, vivre sa vie de façon intense, dans les excès.
la vie de scène du groupe, Freddie, ne pouvait pas mieux
incarner une rock star, de par ses excès scéniques, son excentrisme, son charisme, sa voie démesurement talentueuse et prodigieuse.
or mis les conflits d'égo, qui ne sont pas toujours que d'ordre artistique, financiers, il y a aussi ce qui éreinte l'usure du temps, l'ennui, toujours se redécouvrir
sous un nouveau jour, et se séduire, je dirai c'est comme une histoire d'amour, passée la passion, il faut s'investir pour durer, et continuer à se "stimuler".
je dirai,
le fait de beaucoup tourner et d'être lié et de subir à la fois la pression de la maison de disque, pour composer enregistrer (voir devoir faire des tubes) et défendre un
nouvel album sur scène, et là c'est la pression des tourneurs qui est grande, assurer le show remplir les salles ou stade, quand on voit le temps,
que le groupe a passé en tournée, avec peu d'encrage stable, ensemble, subissant la pression de la performance,faire beaucoup de tournée longue
dans de mauvaise condition, et dormir dans les lieux exigues, peut rendre à la longue insupportable la présence des autres.
je ne pense pas, que si Freddie aurait été encore en vie, en bonne santé, les albums post a-kind of magic, aurait eu des thèmes plus humanistes, et plus inspiré par des thèmes forts, voir spirituel,
"it' a miracle", "innuendo","I'm going slighty mad", "headlong".
d'ailleurs, cette tournée monumentale aurait été selon moi, l'occasion par la suite de vacquer à ses aspirations solos, pour une période indéterminée,
permettant à chacun de répondre à ses propres aspirations loin du groupe, avec d'autres musiciens, s'ouvrir à d'autre horizon, peut-être un premier nouvel album de façon contractuel pour la maison de disque
à l'aube des années 91-92.
Je pense qu'en solo, ne retrouvant pas l'alchimie du groupe, celui-çi serait resté une sorte de refuge, et valeur clé, vers laquelle on est content de revenir.
moins de tournée avec l'âge, plus courte, des salles à taille humaine, privilégiant la qualité à la quantité, et peut-être comme les Beatles, plus de travail en studio,
avec des séances et des albums concepts atmosphèriques.
la collaboration naissante Mercury-Deacon sur l'album a kind of magic, semblait prometteuse et porteuse de fruit intéressant.